« Identité de genre » dans le droit français… L’idéologie se répand !

Le gouvernement poursuit son travail de formatage des mentalités.

Christiane Taubira et Najat Vallaud-Belkacem ont saisi la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) pour un avis portant, d’une part, sur la définition et la place de « l’identité de genre » dans le droit français, et, d’autre part, sur les conditions de la modification de la mention du sexe dans l’état-civil.

Cet avis a été rendu hier jeudi 27 juin, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) préconise deux changements dans la législation française : le remplacement des termes « identité sexuelle » par les termes « identité de genre », qui renvoient  à « l’expérience intime et personnelle de son genre profondément vécue par chacun, qu’elle corresponde ou non au sexe assigné à la naissance ». D’autre part, la simplification et l’accélération des procédures de changement de sexe à l’état civil, et la « suppression des conditions médicales » obligatoires aujourd’hui pour modifier l’état civil… Parce qu’aucune condition, aucune limite ne devrait jamais être posée à notre désir.

Bref… Le travail de lobbying des militants du genre qui dissocie totalement notre sexe et notre identité, et qui souhaite fonder la société sur le ressenti et les impressions subjectives de chacun, se poursuit ! Et cela avec la collaboration active de la garde des sceaux et de la Ministre des droits des femmes.

Pas étonnant que la proposition de résolution demandant la création d’une commission d’enquête sur l’introduction et la diffusion de la théorie du gender en France n’ait pas encore été acceptée.

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