« La GPA, bébé tardif de Mai 68 » – Tribune pour Aleteia.

Alors que deux propositions de loi pour lutter contre la GPA seront débattues en séance à l’Assemblée nationale le 16 juin dernier, j’ai voulu redire mon combat contre cette nouvelle forme d’esclavage et de marchandisation de l’être humain.

Retrouvez ma tribune pour Aleteia « La GPA, bébé tardif de Mai 68 ».

« Aujourd’hui en Commission des lois, nous défendons avec plusieurs de mes collègues une proposition de loi visant à lutter contre la GPA. Cette proposition de loi sera ensuite débattue en séance à l’Assemblée nationale le 16 juin prochain.

Le fait que cette question soit d’actualité révèle une chose : soixante ans après Mai 68, ses effets sont toujours à l’œuvre.

La revendication du « droit à l’enfant » en est l’ultime avatar. « Il ne doit y avoir aucune entrave à la liberté personnelle », « mon propre désir doit être satisfait quelles que soient les conséquences pour le corps social », tels sont les principes de Mai 68, qui sous-tendent la Gestation Pour Autrui (GPA) ou pratique des mères porteuses.

Ceux qui prônaient la libération sexuelle hier en sont arrivés au nom d’un nouveau désir, celui d’avoir un bébé quelles qu’en soient les modalités et les conséquences, à promouvoir la pire forme d’asservissement des femmes. Avec la GPA, au nom du concept ubuesque et mensonger de « stérilité sociale » inventée par des sénateurs socialistes en 2013 pour justifier l’ouverture à la Procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes homosexuelles, la femme devient une usine et les bébés l’objet d’un contrat marchand. Un enfant qui peut d’ailleurs être abandonné s’il ne correspond pas aux termes du contrat … » Lire la suite sur le site d’Aleteia.

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